On baisse la tête et on bûche…
sans béquilles,
seul devant la page,
on hoche la tête et on persiste…
même si j’ai aucune idée de ce que je vais faire,
je fonce et je creuse mon sillon.
Je passerai ma journée avec mes personnage en procrastinant ici pour votre étourdissement.
Ma pensée se réverbère et se reflète en elle-même comme un jeu de miroirs convexes infinis qui se répercute sur les objets du monde.
Je suis le sonar de l’existence qui résonne d’émotions, de vérité cachées, de déferlements silencieux.
Pendant se temps, ma pensée spirale en elle-même en suivant sa course simple pour l’intellect mathématique, mais complexe pour les yeux.
Tout devant moi se déploie en relations intimes, entre quatre yeux. Pourquoi tout se mouvement sans bouger un iota de mon appartement?
Quelle mystère suis-je appelé à résoudre.
Tout est là et pourtant rien y est.
Sans l’absence, sans la fatigue, sans la solitude, la faim et l’amour n’ont pas de sens, mais pour le reste je ne sais pas encore.
C’est terrible et merveilleux.
J’aime