Prenons un peu de temps pour regretter les idées qui n’émergerons pas, qui resteront lettre morte et demandons-nous : pourquoi ces combinaisons iconoclastes et pures prennent la poussière, loin dans la partie récessive de notre cerveau. Quelle convention, quel amour propre nous retient? Le plaisir de créer n’a pourtant rien à voir avec un effet somatique de masse.
Si tout vous a suggéré qu’un plaisir gratuit n’a aucune valeur. Que vous soyez incapable de bonheur, Que votre gratification immédiate doit être contenue dans une boite griffée et colorée à l’imprimante, n’est-ce point pour vous garder avide, employé et consommant? N’est-ce point l’angoisse de mourir qui anime cette peur? Comment la grandeur pourrait-elle sortir d’un élan aussi mortifère?
Les idées qui vous viennent: mots, projets d’aventure, inventions, projets d’évasion, ne les échappez pas, si folles soient-elles. Examinez-les, si vous le pouvez. Elles révèlent les meilleures parties de vous-même. Elles vous soufflent les actions qui vous rechargent, vous font plaisir. Que ces actes vous rendent populaires ou riches importent peu.
Faire ce qui nous passionne n’est pas libérant parce que cela nous rendra riche, mais bien parce que cela nous remplit de bonheur.
La meilleure partie de vous est probablement différente et inutile, selon les critères de plusieurs personnes.
Pourtant vous y abandonner fait de vous la meilleure version de vous-même.
Genre