Électronique de tubes, badigeonné de poésie.
Le contact rude de l’eau se marie mal avec l’énergie circulatoire.
Toutes les goûtes érodent la circulation des décharges.
En désespoir de cause la contraption résiste : Électrochocs, entrefilets, étincelles
Des estafilades ouvrent les poignets du construit, révélant ses veines de cuivre
La machine se meurt consumée par la poésie.
C’est un arrachement grincheux de crissements d’aciers.
Tout ce qui en restera, compostera comme une minute de trop