Pour le directeur de la radio communautaire de votre région.
Qui qu’il soit.
G.
et pour Yan et Gui, dyade du paradis, mon frère et ma soeur…..mes prêtres vaudous de la sérénité.
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J’étais dans cruise accoté.
nous étions deux colériques de marde.
ça pas duré
mais j’ai choisi de garder en tête ce que je venais d’apprendre sur moi.
sur ma tendresse.
sur la générosité qui engendre une générosité réciproque.
Mais aussi sur la tendresse physique.
et mon constat, peut-être naif fut
que trop peu de personnes connaissent vraiment le potentiel du langage du corps.
nous sommes trop fermés à l’autre.
et nous ne sommes pas généreux pour nos partenaires.
Nous croyons trop qu’une seule méthode suffit?
Je ne sais pas.
Mais j’avais découvrert une forme de tendresse et de désir que je trouvais parfaite.
Un jeu ou on donne et reçoit, un jeu ou des surprises émergent de l’ouverture.
et je voulais apprendre à d’autres comment jouir de cette manière.
mais comne je suis un étrange un peu timbré.
je me suis dit que peut-être je pourrais enseigner cet art à 5 femmes avant de me caser.
mais le problème, c’est que je suis vraiment, comme, vraiment un peu un désastre de cruise.
par contre, je pense que je m’améliore du coté de l’honnêteté.
et sur mon chemin un peu étrangement pathétique de cruise, il s’est passé des trucs qui m’on fait vivre.
le désir chez moi est connecté à l’émotion.
et je devrai toujours gérer cette confusion.
à moins qu’un truc change.
mais en me laissant ressentir mes émotions, je suis meilleur.
même si des fois une femme mariée me fait un commentaire qui me fait tomber de tendresse pour elle.
même si des fois quand je trouve une femme belle, je lui écrit des poèmes vraiment un peu épeurants le troisième jour après s’être connus.
elle m’avait appelé pour savoir c’est quoi son fuck.
cette fille elle voulait se faire aimer, mais y avait un blocage.
Mais j’étais pas le bon gars.
ça arrive.
alors avant de partir, je lui ai écrit sur mon désir d’elle.
L’espace d’une phrase j’ai été Serge Gainsbourg
« Le désir est une frontière à la limite du rêve et du corps.
Et les corps son des faisceaux de chair gonfés par le quotidien.
La tendresse est le langage généreux du corps.
Touchons nous et touchons les
bien »
la sentence passée, je continuai mon étrange parcours, cheminement qui est ma route d’étrange clandestin.
et l’oeil tourné vers le soleil, je souris.
enfin.
G.