Pour cet homme au cheveux long qui avait le coeur si pur
Qu’il en avait oublié la nuit.
G.
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Essuie mon courroux
Qui a taché le remblai de ton col de cygne
S’il-te-plait
C’est indécent
Cette dent
Portée contre moi
La vengeance m’appartenait
En ces jours de fluxions pariétales
Ou tu te morfondais
Et c’était doux
Ta pureté énervante
Était drôlement chiante
Alors diantre
Je t’ai lancé du ketchup
Faque moppe!
Mais non…..
Fière étoile
Tu m’as rendu cette toile
Et j’en ai bavé
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Kelemvor au poulet
Colonel en suspens
Ton engeant
Est un cheminement de freluquet
Que j’exècre
Le scat novembre au soir
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Quand vous mangez du yogourt,
N’oubliez pas de lire les petits caractères.
Sinon il vous en coutera
Si vous êtes allergique
Mais qu’est-ce donc que ce monde décérébré,
Ou je surnage comme un exilé
En rupture de bans préfinis
Il manque de tout
Pourtant tout est calculé
Le cerbère de colonnes jappe et veille au grain.
Si seulement j’étais un génie
Capable d’écrire des choses utiles
Ça serait tout à fait conforme
Mais la garantie périme
Le cœur déprime
Et l’inutile l’emporte
Volatile et vitupérant
Comme l’inconséquent
Qui crie à tue-tête que son engin
Ce frangin minuscule et fade
Domine
Hé oui, c’est une hermine, qui creuse dans la chair
Son nid
Comme c’est prévisible
Et risible.