Qui est ce menteur hippocrite qui dit aimer sa famille?
-Cules Jésar
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Chaque moment de tendresse est délicieux comme un gâteau et rare comme de l’or.
Il faut en profiter.
Surtout à l’âge adulte.
Quand nous étions enfants, nos parents nous chouchoutaient et nous câlinaient. Parfois, même, nous vivions de rares moments de tendresse fraternelle.
J’ai le souvenir d’un voyage en voiture ou ma sœur a posé sa tête sur mes genoux et y a dormi deux heures.
Aujourd’hui, elle est aussi tendre, même en adulte que maintenant. Elle m’encourage et quand je suis triste elle me serre dans ses bras.
Ma famille est importante pour moi.
Les membres de ma famille ne m’ont jamais jugé.
Parfois je me suis senti seul parmi eux, à part, mais jamais parce que c’était leur intention.
Parfois nous avons eu des différends, mais jamais de profondes querelles.
Ma famille j’en apprécie les forces, la solidarité, l’authenticité.
Comme tout groupement d’humains, comme toute unité, ma famille a ses limites.
Ses défauts, ses travers, ses mauvaises habitudes.
Mais avec les années nous avons trouvé, moi mes parents, mon frère et ma sœur, un excellent terrain d’entente.
J’en suis heureux.
écrit quelque part entre 2013 et 2016