Fondation
Si quelqu’un t’envoyait un poème sur son dépit de vivre, sur cette envie folle se faire mal que l’on masque parfois sous nos impulsions et nos passions, comment t’y prendrais-tu pour l’inspirer?
Je voudrais lui dire que même si le beau ne suffit pas, même si le sublime s’absente souvent de nos vies, même si sa débauche d’énergie ne suffit pas à enterrer le silence, vivre peut être une grande récompense.
-Dialogue entre Jacques Leduc et Abu Bakr.