Pour toi qui ne lit jamais ce blogue.
La première des femmes, mal aimée d’Adam.
Je pense à toi.
Le serpent.
Champignon
Passations tubulaires et vases communicants,
J’ai perdu l’eau vive, ce premier lubrifiant
Mais tu es venue me dire que j’étais arrogant
J’ai perçu sous la pique le biais, caressant
J’ai porté tes mots à ma conscience
Ils diffusaient partout la confiance
Ma plume s’éveilla, en toute conscience
Quelques rimes plates, obsolescence
Pourtant je suis heureux, coincidence?
Dans ma tête une sentence
Rien qu’une référence
Je préférerai toujours tes cris au silence
Que jamais tu ne taises ta souffrance
Parce que nonobstant
La bienséance
Ton abaissement
Ta vaillance
Tes cris m’appellent, ultime élégance
D’aboutements accablants
Je t’aime beaucoup.
C’est absurdement
Fou
J’adore te lire. C’est addictif.